*un vent d'ombre parcours les pays, villes apres villes.*

*un vent d'ombre parcours les pays, villes apres villes.
Placarder au centre des villes et des villages, par dela les monts et rivières, au dela des Océans, vous retrouver une annonce:

*

Voilà qui n'augure rien de bon.

Le voyageur était la de retour depuis peu, caché dans l'ombre, attendant un peu, fallait il se montré tout de suite?
Le Jeune messager hésita un peu puis sortit de la pénombre. Un grand rodeur blond, dont un oeil était aveugle depuis bien des années était caché d'une bande de tissus se présenta à la lumière.
Il était vêtus d'une longue veste brune et d'un vêtement collant noir rappelant vaguement les peuples antiques, dont la musculature rappelait certains guerriers du nord.
Doucement, il vint vers elle, un corbeau venant se poser sur son épaule. L'étrangeté du jeune homme fut sa voix, ressemblant plus à un grandement de tonnerre, grave et profonde.

- "Bonsoir, belle Dame."


Le Corbeau croassa, battant un instant des ailes, puis retrouva son calme, inclinant sa tête, ses étranges yeux bleus se fermant pour écouter, tandis que l'homme s'inclinait, une main sur le cœur, l'autre dans le dos.

Les yeux de Prétoria s'étrécirent. La situation lui était vraiment déplaisante.

" Je vous conseille de vous redresser lentement" fit -elle d'une voix autoritaire et avant que l'inconnu ne put répondre elle poursuvit sur un même ton.

" Je dois reconnaître que c'est trés astucieux de votre part de profiter du chaos qui règne actuellement en ces lieux pour vous y introduire.
Vous devez avoir l'habitude de ce genre de chose, cela vous ren d assez sur de vous pour m'aprocher de cette manière et c'est là votre première erreur. Je ne me déplace jamais seule, ce qui parfois se révèle être assez agaçant. Votre seconde erreur est de placer une main dans votre dos, geste qui doit titiller mon assassin personnel. Aussi je vous déconseille de commettre une troisème erreur, celle-ci pourrait se révéler fatale."

L'homme fit un sourire, puis de gestes très lent, tenta de se montré le moins dangereux possible, l'oiseau s'envolant un instant faisant le tour de l'endroit avant de revenir sur l'épaule du jeune homme.

- "Madame, je ne suis point la pour me battre en se jour ni en se lieu."

Il se redressa, aux aguets, Prêt a tout, mais ne sortant pas ses armes, le risque était possible, mais il fallait bien montré qu'il n'était pas la pour tuer.

- " Je ne suis que messager, nous venons juste offrir nos services de combattants."

Son oeil unique la guettait, méfiant. Tous n'étaient pas aussi acceuillant que Sir Alexiel ou bien l'Avatar, Arween Dragondor. Ainsi, il faudrait être prudent.

- " Je ne suis pas la pour faire la chasse, sauf si vos mur cache un poison redoutable pour la Tyrie."

Prétoria eut un sourire en coin.

" Bien au contraire, la Tyrie a assez souffert et souffre encore de bien des maux. Je militerai plutôt pour panser ses plaies, mais je n'apprécie guère qu'on s'invite en notre cein des ceins, surtout quand le message arrive avant le messager. Et puis, qui apprécierait de voir un membre d'une guilde d'assassin faire intrusion chez lui ?"

Sur la terrasse ensoleillée située derrière la nécromantienne un tigre blanc passa nonchalement puis s'étira en baillant bruyament avant de s'affaler de toute sa masse au premier coind'ombre qu'il trouva.
Prétoria n'y préta aucune attention, concentrée sur l'homme et sa corneille, prête à agir au moindre mouvement du volatile.

" Vos propos sont d'ailleurs assez ironique quand on pense que des guildes telles que la vôtre ont détabilisé des nations entières en proposant leurs services alternativement à l'un ou l'autre des seigneurs locaux.
Et parfois vous servez l'un et l'autre en même temps."

La nécromantienne fit un sourire plus large.

" On dit des gens comme vous que votre loyauté va là où va l'argent, moi je crois que des intérêts plus grand sont en jeux quand on déstabilise une nation par le meurte et la corruption. Oui la Tyrie a souffert et je ne pense pas que vous soyez le remède, je ne pense pas avoir à faire avec vous à l'avenir.
A moins bien sur que vous ne vous révéliez être une partie du problème"

Christant haussa les épaules, son affaire s'arrêtait la surement, la Dame avait parler. Bien sur, celle ci n'y voyait pas son interret dans l'affaire.

- "Comme vous le souhaitez madame."

Il se réinclina pour disparaitre aussitôt, ne laissant derrière lui qu'une plume et une affichette: Wanted Kyrilda

Puis le corbeau s'envola immédiatement.